Soutenance - Thèse

Soutenance de thèse d'Élise Koering

 

L'Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines,
L’École doctorale Cultures, Régulations, Institutions et Territoires – CRIT
Le LéaV, École nationale supérieure d’architecture de Versailles – ENSA-V
présentent l’avis de soutenance de Mademoiselle Élise Koering,
autorisée à présenter ses travaux en vue de l’obtention du Doctorat de l'Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines en Histoire de l’architecture. 
 

« Eileen Gray et Charlotte Perriand dans les années 1920 et la question de l’intérieurcorbuséen. Essai d’analyse et de mise en perspective ».

Le jeudi 8 avril 2010 à 14H30
à
L’École nationale supérieure d’architecture de Versailles
5 avenue de Sceaux
78000 Versailles
 

Salle des Conseils.

Membres du jury
Laurent BARIDON, Professeur des Universités, à l’Université Mendès France Grenoble II – Rapporteur
Gilles RAGOT, Professeur des Universités, à l’École nationale supérieure d’architecture et du paysage de Bordeaux – Rapporteur
François LOYER, Directeur de recherche, à l’École nationale supérieure d’architecture de Versailles – Directeur de thèse
Tim BENTON, Directeur de recherche, à l’Université de Cambridge, Grande-Bretagne – Examinateur
Jean-Yves MOLLIER, Professeur des Universités, à l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines – Examinateur


Résumé :
1929. La créatrice irlandaise Eileen Gray et l’architecte roumain Jean Badovici achèvent l’édification de leur grand œuvre : la villa E 1027. La même année, Le Corbusier, Pierre Jeanneret et Charlotte Perriand dévoilent au public parisien et à l’élite internationale le résultat de leurs recherches sur le mobilier en tubes d’acier et le rangement standard : l’« équipement intérieur d’une habitation ». Deux collaborations, deux propositions tenues de résoudre la question de l’intérieur moderne. 
Notre thèse se propose d’étudier, et d’analyser en les confrontant, l’œuvre de Charlotte Perriand et d’Eileen Gray dans les années 1920, années au cours desquelles elles tentent de définir une nouvelle manière d’habiter et de dépasser leur pratique de décoratrice pour penser en architecte. Une analyse qui se donne pour objectif de replacer les deux créatrices dans leur contexte artistique tout en mettant fortement en lumière la réflexion corbuséenne en matière de mobilier et d’aménagement intérieur. 
 

 

Mademoiselle Élise Koering a obtenu sa thèse de doctorat avec la mention : « Très honorable avec les félicitations du jury ».